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Soutenance de thèse

Violette ARNOULET soutiendra sa thèse intitulée :

Les communistes et les "quartiers". Sociohistoire d'un pouvoir municipal engagé dans la politique de la ville (Stains, 1971-2018).

   La soutenance aura lieu le lundi 3 avril à 9h30, à l’École d'urbanisme de Paris, en salle A219...

Soutenance de thèse

Camille PICARD soutiendra sa thèse intitulée :

"Le Japon face aux enjeux démographiques : politiques publiques et innovations sociales en faveur du maintien à domicile des personnes âgées"

   Vendredi 17 février à 9h30 en salle A219 du bâtiment Bienvenüe.

Le jury est composé...

Soutenance de thèse

Anthony XIMENEZ soutiendra sa thèse en Aménagement et Urbanisme intitulée :

"Urbanisme et réflexivité. Un diagnostic critique du champ du projet en urbanisme, de la recherche aux pratiques professionnelles".

   La soutenance aura lieu le vendredi 3 février 2023 à 14h en salle...

Soutenance de thèse

Alicia RUBINI soutiendra sa thèse en aménagement de l'espace et urbanisme intitulée

« Mobilité résidentielle et ségrégation urbaine : une étude pour la ville de Montevideo »
 

La thèse se déroule dans le cadre d'une co-tutelle avec l'Universidad de la República (Uruguay).
 
  Le jeudi 17 décembre 2020 à 17h en visioconférence


  La soutenance est publique et sera diffusée en streaming, voici les liens :

  • Le premier lien concerne la partie de la soutenance jusqu’à la délibération du jury :  https://youtu.be/qC2FgaB-Hto
  •  Le second lien concerne la seconde partie de la soutenance après la délibération du jury, la délibération étant confidentielle :  https://youtu.be/H4jOkz1LM_Y

 
Le jury sera composé de :

  • María José Álvarez Rivadulla, Professeur associée de l’Universidad de los Andes, rapporteure
  • Jean-Claude Driant, Université Paris-Est-Créteil, Lab’Urba, directeur de thèse
  • Françoise Dureau, Directrice de recherche émérite, Institut de Recherche pour le Développement, UMR MIGRINTER, rapporteure
  • Diego Hernández, Professeur associé de l’Universidad Católica del Uruguay, examinateur
  • Catherine Paquette, Chercheuse de l’Institut de Recherche pour le Développement, UMR CESSMA, examinatrice
  • Landy Sánchez, Professeur du Colegio de México, CEDUA, examinatrice

Le résumé de la thèse est le suivant :


Dans le cadre du débat sur les transformations métropolitaines des villes latino-américaines, cette thèse a pour objectif d’étudier l’évolution de la ségrégation résidentielle à Montevideo et dans son aire métropolitaine, au cours d’une période plus longue que celles étudiées par les travaux précédents (1985-2011). Il s’agit également de rechercher des confirmations empiriques du lien entre la mobilité résidentielle et la ségrégation pour une période plus brève (2006-2011).
Du point de vue méthodologique, ce travail est principalement fondé sur des approches quantitatives. A partir d’analyses statistiques et de l’élaboration de cartes, la recherche développe une perspective transversale des phénomènes étudiés en utilisant les bases de données des recensements de l’Institut national des statistiques (INE) de 1985, 1996 et 2011 et des Enquêtes continues auprès des ménages (Encuesta Continua de Hogares) de l’INE de 2008 au 2011 qui inclue un module de questionnaire spécifique sur la mobilité résidentielle. Cette approche est complétée par un travail qualitatif reposant sur un ensemble d’entretiens menés auprès de personnes qualifiées.
Comme on pouvait s’y attendre, les analyses empiriques de la ségrégation résidentielle à Montevideo montrent qu’elle est plus nettement socioéconomique que démographique. Elle se développe à une échelle macro et tend à s’intensifier tout au long de la période étudiée, sous la forme de processus d’homogénéisation sociale et d’éloignement géographique des classes sociales. Ces processus se complexifient en se superposant aux évolutions démographiques qui s’observent plutôt à une échelle méso sous forme de transformation de la composition démographique de certains quartiers. De la même façon, on observe clairement une contribution de la mobilité résidentielle aux processus ségrégatifs. Malgré les limites des données disponibles qui fragilisent la quantification de cette contribution, les analyses menées en démontrent l’existence.

Mots clés : Mobilité résidentielle. Ségrégation urbaine. Changement urbain. Inégalité.


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